Quels sont les personnages politiques français joueurs de jeux vidéo ?

Ah, la politique et les jeux vidéo, un duo improbable ! Pourtant, certains de nos politiciens français troquent leur costume-cravate pour des tenues de guerriers virtuels ou de stratèges en ligne une fois rentrés chez eux.

Alors, qui sont ces politiques qui, le soir venu, préfèrent se détendre avec une manette à la main plutôt qu’avec un bon vieux discours ? Plongeons dans l’univers geek de nos leaders nationaux ! Coup de comm ou véritable joueur, je vous laisse juge !

Pendant que la Paris Games Week 2023 se déroulait à Paris, les politiciens semblaient de plus en plus intéressés par le secteur des jeux vidéo, tant sur le plan économique que culturel. Lors de la journée d’ouverture du salon, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire s’était rendu sur place pour «manifester le soutien du gouvernement aux jeux vidéo et à l’e-sport».

François Fillon : Le chevalier de « World of Warcraft »

Commençons par l’ancien Premier ministre, François Fillon. Figurez-vous qu’en dehors des débats parlementaires, ce monsieur se transforme en preux chevalier dans « World of Warcraft ». Oui, vous avez bien entendu !

Lors de plusieurs interviews, Fillon a révélé qu’il était un fervent joueur de ce MMORPG légendaire. Imaginez le voir en armure étincelante, combattant des dragons et accomplissant des quêtes épiques. Peut-être qu’il s’entraîne à déjouer les pièges politiques en ligne ?

Axelle Lemaire : La protectrice du numérique

Axelle Lemaire, ancienne secrétaire d’État chargée du numérique, est une grande supportrice de l’industrie du jeu vidéo en France. Souvent vue lors d’événements dédiés aux jeux vidéo, Lemaire est clairement une figure incontournable du soutien politique aux jeux vidéo. Peut-être passe-t-elle ses soirées à jouer à « The Sims » pour pratiquer ses compétences en gestion politique ?

Cédric O : Le technophile de la transition numérique

Cédric O, ancien secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, n’est pas en reste. Lui aussi soutient activement l’industrie du jeu vidéo en France et en également l’intillence artificielle.

On peut facilement l’imaginer décompresser après une longue journée en jouant à des jeux de construction comme « Minecraft », où il bâtit des mondes aussi complexes que ses projets politiques.

Julien Denormandie : Le fermier de « Fortnite »

Julien Denormandie, ancien ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, a mentionné qu’il était un joueur de « Fortnite ». Imaginer Denormandie en pleine bataille royale, récoltant des ressources et construisant des fortifications pour survivre, ajoute une touche d’épique à son quotidien politique.

Gabriel Attal : Le porte-parole gamer

Gabriel Attal, le premier ministre français, a avoué jouer à des jeux vidéo, bien qu’il n’ait pas précisé lesquels. Peut-être que dans ses moments de détente, il préfère des jeux de rôle ou d’action, où il peut se défouler après une journée de conférences de presse.

Depuis sa nomination en tant que premier ministre, je doute qu’il trouve beaucoup de temps pour lancer une partie.

Mounir Mahjoubi : Le stratège du numérique

Mounir Mahjoubi, ancien secrétaire d’État chargé du Numérique, est un grand amateur de jeux vidéo. Il a souvent parlé de l’importance de l’industrie du jeu vidéo pour l’économie numérique et a participé à plusieurs événements de jeux vidéo.

On peut l’imaginer planifiant des stratégies économiques complexes tout en jouant à des jeux de stratégie comme « Civilization ».

Rachida Dati : La maman gamer

Rachida Dati, ancienne Garde des Sceaux et actuel ministre de la culture, a déclaré avoir joué à des jeux vidéo avec ses enfants. Bien qu’elle ne soit pas une joueuse régulière, on peut facilement l’imaginer en train de jouer à des jeux familiaux comme « Mario Kart » ou « Just Dance », partageant des moments de joie et de compétition amicale.

Marlène Schiappa : La guerrière des jeux vidéo

Marlène Schiappa, ancienne secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes et aujourd’hui Secrétaire d’État chargée de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative, a exprimé son intérêt pour les jeux vidéo dans plusieurs interviews.

Elle joue occasionnellement avec ses enfants, peut-être à des jeux coopératifs où elle peut démontrer ses talents de leader et de stratège.

Aurélien Taché : Le député streamer

Aurélien Taché, député du Val-d’Oise, a été vu jouer à des jeux vidéo lors de sessions de streaming pour des événements caritatifs. On peut l’imaginer se divertir et engager avec ses électeurs tout en jouant à des jeux populaires en ligne, créant des ponts entre la politique et le monde du gaming.

Emmanuel Macron : Le président gamer ?

Bien que le président Emmanuel Macron n’ait pas explicitement déclaré être un joueur de jeux vidéo, il a souvent exprimé son soutien à l’industrie du jeu vidéo en France.

Emmanuel Macron s’est adonné au jeu vidéo de course « Trackmania » aux côtés d’Adrien Nougaret, connu sous le pseudonyme ZeratoR, lors d’une réunion avec des représentants de l’e-sport français à l’Élysée, à Paris, le 3 juin 2022.

Malgré son manque d’expérience en tant que joueur, Emmanuel Macron cherchait à établir des liens avec l’industrie du jeu vidéo. En moins de deux mois, le président de la République avait publié deux déclarations de soutien aux acteurs de cette industrie ainsi qu’à leur public.

Dans sa déclaration datant du dimanche 5 novembre 2023, diffusée sous forme d’une courte vidéo sur les réseaux sociaux (TikTok, Instagram et Twitch), on pouvait l’entendre dire : « Le secteur des jeux vidéo, c’est des milliers d’emplois : six cents studios dans notre pays, des écoles remarquables (…), des vocations, c’est aussi une culture, une partie de la culture française ».

Benoît Hamon : Le débatteur digital

Benoît Hamon, ancien ministre et candidat à l’élection présidentielle de 2017, a mentionné son intérêt pour les jeux vidéo et a participé à des débats sur l’impact de ceux-ci sur la société.

En somme, il semble que nos politiciens français ne sont pas étrangers aux joies du gaming, même si le plus souvent il s’agit d’une reconnaissance de la culture Gaming et de sa communauté. Néanmoins certains politiques sont bien des joueurs, mais cela reste dans la sphére privée.

Qu’ils soient chevaliers, stratèges ou fermiers virtuels, ils montrent que même dans les sphères les plus sérieuses de la politique, il y a toujours une place pour un peu de jeu. Alors, la prochaine fois que vous jouez à votre jeu préféré, gardez un œil ouvert, car vous pourriez très bien y croiser un politicien en quête d’aventure ou de divertissement !

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